dimanche 24 mars 2013

Usages des images dans l'apprentissage


Exemples d'usages pédagogique du blogs dans l’apprentissage
On peut servir des médias  dans éducation et l'apprentissage. ce exemple constitue un usage de texte linguistique et d'image en vue de faciliter l'apprentissage.

Source: Internet

Wiki, blog et traitement de texte en ligne : quel outil pour quel usage pédagogique ?



Wiki, blog et traitement de texte en ligne : quel outil pour quel usage pédagogique ?
Le wiki, le blog et le traitement de texte en ligne sont trois outils dédiés à la rédaction. Comment ne pas prendre l'un pour l'autre ? Ou comment ne pas se servir de l'un à la place de l'autre ? Deux questions auxquelles nous allons  essayer  de répondre .
Pour ce faire, entamons une comparaison de ces trois dispositifs ; laquelle comparaison porte sur six points principaux que sont :
  • le ou les auteur (s)
  • les collaborateurs
  • l'organisation
  • les mises à jour
  • les avantages
  • les inconvénients.
S'agissant des auteurs, par exemple, le billet de blog est généralement rédigé par une personne même si le blog lui-même peut être animé par plus d'une personne. Il n'en est pas de même pour le wiki qui de par sa nature est un outil de rédaction collaborative c'est-à-dire requérant plusieurs mains. Quant au traitement de texte en ligne, il est d'abord le fait d'une seule personne qui peut par la suite y associer d'autres personnes.
Les visiteurs d'un blog ont un rôle restreint, celui de poster des commentaires. Tandis que pour le wiki, ces visiteurs peuvent devenir des collaborateurs. Idem pour le traitement de texte en ligne qui autorise un nombre limité de collaborateurs travaillant de façon synchrone sur le même document ; un grand groupe pouvant travailler en l'espèce de façon asynchrone.
En matière d'avantages, les trois outils se disputent la vedette. Le blog est facile à créer et à gérer ce qui le recommande pour toute production écrite individuelle. En revanche, on lui préférera le wiki en cas d'écriture collaborative. Mieux, le wiki sauvegarde l'historique de la rédaction et offre la possibilité aux rédacteurs de discuter des révisions. Enfin, le traitement de texte en ligne est adapté à la rédaction synchrone sur un document unique. L'outil de chat (clavardage) intégré à Google Docs (qui s'appelle Google Drive depuis) est d'un intérêt non négligeable.
Le wiki, le blog et le traitement de texte en ligne ne sont pas sans défauts, liés pour la plupart aux limites technologiques. Et c'est avec ces limites qu'il faudra composer lorsqu'on veut les mobiliser à des fins éducatives.
Question de pédagogie
Les trois outils précités étant différents l'un de l'autre dans leurs fonctionnalités, un usage pédagogique doit tenir compte tant des potentialités mais aussi des limites, comme nous l'avons dit plus haut.
Ainsi si le wiki convient aux cours de langues, le blog lui peut être mobilisé dans les sciences, les arts, les mathématiques. Le traitement de texte peut lui être utilisé dans n'importe quelle discipline pourvu que la finalité de l'activité consiste en un document écrit de manière collaborative. Moins qu'une question de discipline, les usages du wiki, du blog et du traitement de texte en ligne doivent être mis en cohérence avec les scénarios pédagogiques dans lesquels ils interviennent.
Sources :
Mark Wagner, auteur du blog Educational Technology and Life.

Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse



Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse
Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse
Avec l'accessibilité, la fiabilité de la connexion Internet constitue l'une des deux préoccupations majeures en Afrique en matière de télécommunications. Bien souvent, les utilisateurs maugréent du fait d'une faible connectivité au point de tourner en dérision les réseaux à haut débit de troisième génération (3G) en la débaptisant 3GRRR (grrr étant l'onomatopée utilisée pour exprimer la frustration ou la colère).
Néanmoins, on est bien loin de l'époque où il fallait parcourir des distances importantes pour trouver le cybercafé ayant le débit le plus fluide. Bien loin aussi l'époque où une heure de connexion coûtant 1000 francs CFA ne permettait que de lire et d'envoyer quelques courriels. Il faut se convaincre, au regard de l'environnement technologique et des infrastructures actuelles, que des efforts ont été faits pour améliorer les services TIC. Où en est-on aujourd'hui avec la connectivité en Afrique ? Question qui mérite d'être posée eu égard à la communication mise en œuvre par les opérateurs sur l'arrivée du "haut débit" et, parfois même, du "très haut débit" en Afrique.
Le Net Index publie un classement des pays en fonction de leur vitesse de connexion Internet (téléchargement et télé versement), basé sur des millions de résultats de tests récents de Speedtest.net. Ce classement révèle que l'accès au haut débit est en plein essor en Afrique. Le Rwanda en première position des pays africains, 62ème dans le classement mondial à la date du 18 février 2013, offre une vitesse de téléchargement de 8.30 Mbps. Dans le top 10 des pays africains, on trouve Madagascar, 2ème, suivi de la Namibie, du Ghana, du Cap-Vert, de la Mauritanie, du Kenya, de l'Ethiopie, de Zimbabwe et du Maroc.
Ces données pourront changer au fur et à mesure que des améliorations techniques seront apportées. Toutefois, la qualité de la connectivité est perceptible dans les pays en question, permettant la mise en place d'initiatives et de services à forte valeur ajoutée. Au Ghana, par exemple, chaque puce de téléphonie mobile achetée donne initialement droit à une connexion internet. La consultation de certains sites étant même gratuite dans certains cas.
La question de la vitesse doit être subsumée dans celle des infrastructures utilisées. Ces dernières années, on a observé deux évolutions majeures : d'une part, un investissement du secteur privé dans les télécommunications, ce qui a eu pour effet d'accroître le taux de pénétration des services de téléphonie et d'internet, et, d'autre part, le raccordement de l'Afrique à la fibre optique par le déploiement de câbles sous-marins le long des côtes. Par voie de conséquence, ces évolutions ont impacté le débit et les coûts.
On constate donc que des efforts ont été faits en ce qui concerne le débit et les coûts. Ce qui est fort encourageant pour la formation en ligne. Néanmoins, des efforts restent à fournir pour fiabiliser la connexion et desservir les arrières-pays qui sont souvent des zones numériquement enclavées.

Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse



Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse
Le débit Internet en Afrique : une question de vitesse
Avec l'accessibilité, la fiabilité de la connexion Internet constitue l'une des deux préoccupations majeures en Afrique en matière de télécommunications. Bien souvent, les utilisateurs maugréent du fait d'une faible connectivité au point de tourner en dérision les réseaux à haut débit de troisième génération (3G) en la débaptisant 3GRRR (grrr étant l'onomatopée utilisée pour exprimer la frustration ou la colère).
Néanmoins, on est bien loin de l'époque où il fallait parcourir des distances importantes pour trouver le cybercafé ayant le débit le plus fluide. Bien loin aussi l'époque où une heure de connexion coûtant 1000 francs CFA ne permettait que de lire et d'envoyer quelques courriels. Il faut se convaincre, au regard de l'environnement technologique et des infrastructures actuelles, que des efforts ont été faits pour améliorer les services TIC. Où en est-on aujourd'hui avec la connectivité en Afrique ? Question qui mérite d'être posée eu égard à la communication mise en œuvre par les opérateurs sur l'arrivée du "haut débit" et, parfois même, du "très haut débit" en Afrique.
Le Net Index publie un classement des pays en fonction de leur vitesse de connexion Internet (téléchargement et télé versement), basé sur des millions de résultats de tests récents de Speedtest.net. Ce classement révèle que l'accès au haut débit est en plein essor en Afrique. Le Rwanda en première position des pays africains, 62ème dans le classement mondial à la date du 18 février 2013, offre une vitesse de téléchargement de 8.30 Mbps. Dans le top 10 des pays africains, on trouve Madagascar, 2ème, suivi de la Namibie, du Ghana, du Cap-Vert, de la Mauritanie, du Kenya, de l'Ethiopie, de Zimbabwe et du Maroc.
Ces données pourront changer au fur et à mesure que des améliorations techniques seront apportées. Toutefois, la qualité de la connectivité est perceptible dans les pays en question, permettant la mise en place d'initiatives et de services à forte valeur ajoutée. Au Ghana, par exemple, chaque puce de téléphonie mobile achetée donne initialement droit à une connexion internet. La consultation de certains sites étant même gratuite dans certains cas.
La question de la vitesse doit être subsumée dans celle des infrastructures utilisées. Ces dernières années, on a observé deux évolutions majeures : d'une part, un investissement du secteur privé dans les télécommunications, ce qui a eu pour effet d'accroître le taux de pénétration des services de téléphonie et d'internet, et, d'autre part, le raccordement de l'Afrique à la fibre optique par le déploiement de câbles sous-marins le long des côtes. Par voie de conséquence, ces évolutions ont impacté le débit et les coûts.
On constate donc que des efforts ont été faits en ce qui concerne le débit et les coûts. Ce qui est fort encourageant pour la formation en ligne. Néanmoins, des efforts restent à fournir pour fiabiliser la connexion et desservir les arrières-pays qui sont souvent des zones numériquement enclavées.

USAGES PEDAGOGIQUES DE DROPBOX

    La liste des outils technologiques dont les propriétés peuvent en faire des outils pédagogiques semble inépuisable. Je voudrais partager avec vous cet outil que j'ai découvert récemment et qui se nomme Dropbox.
   Dropbox est à l'origine une application de stockage de fichier en ligne. Le service permet le stockage et la synchronisation de ces fichiers entre plusieurs ordinateurs. Voici une vidéo présentant le produit.
   

     Pour l'enseignant, disposer d'un tel service peut avoir de nombreux bénéfices comme l'explique cette autre vidéo. 



Le Blog : un CMS d’expression personnelle

Le blog est un site internet d’expression personnelle apparu aux Etats-Unis à la fin des années 1990.  Après une décennie son utilisation touche tous les domaines de la vie, notamment l’éducation.
Par Antoine Adoum GOULGUE

1-Origine et généralités

Le mot « blog » émane de deux termes « web » et « log », ou weblog (ouvrir une session) qui désignent au départ un journal de bord ou registre dans la marine ou l’aviation américaine. Il appartient à la  catégorie de « content management system) (CMS,) des programmes exécutables sur un server.
Le blog permet la création de contenu (texte, image, vidéo hyperlien, multimédia sans connaissance d’un langage du net.
Comme tous les CMS, le blog peut faire intervenir plusieurs rédacteurs appelés contributeurs pour élaborer un document. Mais l’initiative d’un poste revient à un seul contributeur rédacteur laissant aux non-rédacteurs peuvent contribuer à travers des commentaires.

2-Spécifique et diversité de blog

A dimension plus personnelle, le blog est rarement collaboratif, il est même centré sur la personne qui le réalise (le principe du blog est celui du journal « intime ouvert à tous » !)
Le blog est composé d'articles rédigés sur le principe d'un journal de bord. A chaque article, sont associés une date et des mots clés. 
Le blog sert à diffuser et échanger chronologiquement avec des partenaires sous la forme d’articles et de commentaires plus spécifiquement, il sert à :
ü  Publier des informations
ü  Modifier les articles écrits
ü  Commenter les articles 

3-Diversité de blogs

Selon les objectifs on trouve :
  • Des blogs « points de vue »;
  • Des blogs « analytiques » destinés à diffuser des commentaires et analyses;
  • Des blogs « sectoriels » destinés à diffuser des informations
  • Les blogs sont également utilisés comme outils internes à des structures pour permettre une nouvelle forme de communication au sein des membres d’une structure.

3.1-Usages pédagogiques du blog


Pour prendre des notes (bloc notes)
De gestion (de classe ou de projet)
Collaboratif
De « news »
Le blog enseignant : C'est un outil collaboratif où les étudiants peuvent participer. Le blog peut permettre d'organiser votre contenu sous la forme de séances. (Exemple : scénariser le cours à venir, organiser une séance de formation à distance...). L'enseignant peut aussi utiliser cet outil pour rendre l'étudiant actif.
Exemple de blog étudiant : Dans le cadre d'un stage, l'étudiant peut utiliser le blog pour y décrire son expérience en entreprise. L'enseignant consulte les articles et poste des commentaires. A l'issue du stage, l'étudiant utilise le contenu du blog pour réaliser son rapport de stage.
Pour cela, vous pouvez utiliser la création d'objets par personne comme décrite ci-dessous

 4-Avantages de blog


         Facilité de publication
         Liberté éditoriale
         Capacité d’interaction avec le lecteur
         Ne nécessite aucune compétence technique

5-Inconvénients


         Un article peut se transformer en forum
         Pas de contrôle véritable sur les réponses
         Phénomène de « blogo-squat »

 
6- Bibliographie
1-Lesoutils collaboratifs Blog et wiki, quelle articulation: www.slideshare.net/idremeau/blogs-et-wikis-en-formation

2- Utilisation pédagogique des wiki: http://www.univ-valenciennes.fr/coursenligne/vivaldi08/T4_S4_Duquenoy_Eric_Impression.pdf

3- Utiliser le blog comme un outil pédagogique: www.cndp.fr/crdp-dijon/Utiliser-le-blog-comme-un-outil.html

4-Utiliser le blog comme un outil pédagogique : 
www.slideshare.net/idremeau/blogs-et-wikis-en-formation:
http://www.univ-valenciennes.fr/coursenligne/vivaldi08/T4_S4_Duquenoy_Eric_Impression.pdf